Osez la couleur: Le bleu

Jaune, orange, mauve, bleu… autant de tons et de nuances pour égayer une pièce, lui donner du cachet ou encore jouer la carte de la fantaisie.

BLEU

On nomme aussi cette couleur : cobalt, indigo, pervenche, outremer, cyan, lapis-lazuli, phtalo. Elle nous rappelle le ciel, la mer, les îles désertes et les « blue jeans ». On l’agence aussi bien au style contemporain (en ponctuant notre déco de bleu Klein profond qu’on adopte sans restriction), qu’au style décalé, et on se la joue cowboy en agençant le denim et le suède bleu avec des motifs animaliers. On peut opter pour le bleu marine : rayures blanches et bleues avec, au goût, une touche de jaune ou bien ton sur ton d’aqua et d’outremer. On peut également rester dans le classique; le bleu et le crème s’entendent à merveille avec notre table basse en teck au salon.

Intégrer la couleur azur à notre déco

L’azur et ses nuance s’agencent à la déco. Bienvenu dans les salles de bain et salles d’eau dans les teintes claires, l’azur s’invite au salon en une version plus intense. Si on craint de refroidir l’ambiance, on opte pour des accessoires bleus ici et là, ou bien on l’associe au jaune maïs à la provençale.

Matières vedettes

Comment oublier le denim et le jeans indigo? La futaine, son ancêtre, possède une connotation vieillotte et rustique, prisée par les romantiques. Le suède bleu, immortalisé par les blue suede shoes d’Elvis Presley revient souvent dans les tendances.

Si vous aimez les motifs

Bleu-gris et rouge vif dans les motifs à la russe; bleu, orange et jaune dans les motifs provençaux, ou encore le bleu rehaussant les contours du coq de Barcelos, un emblème portugais qui porte bonheur.

Où l’azur?

L’azur trouve sa place partout dans la maison. Cet habitué de la salle de bain se voit de plus en plus souvent au salon et dans la salle à manger.

Couleur azur en version classique : céramique bleue dans notre douche à l’italienne. On l’essaie si on ressent un besoin de calme et d’espace. On l’assume si on déteste les teintes chaudes et que l’on se meurt d’envie d’aller au bord de la mer.